Je songe que l’état de manque, c’est peut-être quelque chose qui ressemble à cela :
Le Songeur (27-11-14)
PS : Ce n’est pas parce qu’un auteur n’a rien à dire qu’il doit s’abstenir de le signifier. La tâche du lecteur n’en est pas moindre. Il est cordialement invité à méditer ce vide ontologique durant environ trois minutes, en tentant d’en ressentir toutes les dimensions, depuis l’acuité du manque jusqu’à la plénitude du silence, au risque de découvrir sa richesse intérieure trop peu connue.
(Jeudi du Songeur suivant (37) : « LES GENS AIMENT ÇA »)
(Jeudi du Songeur précédent (35) : « PRÉSENCE D’ESPRIT »)